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25.01.19

Retour #3 sur la troisième session des soutenances des EIP promo 2019

La troisième et dernière session des soutenances des groupes EIP (Epitech Innovative Projects) devant un jury externe s’est déroulée ce jeudi 24 janvier. Le dernier tiers des groupes a pitché le projet sur lequel il a travaillé pendant sa scolarité. Certains sont encore en voie de développement, d’autres carrément prêts à être industrialisés. Epitech a invité une dizaine de représentants d’entreprises à venir découvrir les projets EIP de l’année 2019.

Des étudiants passionnés et passionnants

La plupart des jurés connaissent bien l’exercice des soutenances de projets. Quentin Varenne, chargé de recrutement IT chez EI Technologies, insiste sur l’accessibilité des étudiants d’Epitech : « Par rapport à ce que j’ai pu voir dans d’autres écoles, j’ai trouvé qu’ici, les étudiants avaient réussi à bien vulgariser leurs projets, à me montrer leur viabilité et leur crédibilité, et surtout j’ai compris ce qu’ils voulaient dire ». Ce qui n’est pas des moindres quand on n’est pas développeur.

Une qualité que Daniel Grunebaum, RH chez Wemanity, un cabinet de conseil et de transformation d’entreprise, approuve. C’était sa première fois chez Epitech, mais il connaissait l’école de nom car Wemanity recrute souvent ses développeurs dans cette école. « Les profils des étudiants sont intéressants, ils sont véritablement passionnés de l’innovation et souvent de l’entreprenariat ». Daniel Grunebaum ajoute aussi qu’il n’a jamais été déçu en recrutant chez Epitech.

« Les étudiants d’Epitech savent tout faire »

Le recrutement d’étudiants d’Epitech, c’est d’ailleurs l’une des raisons de la présence de ces entreprises aux soutenances. Fabrice Bascoulergue, Ancien d’Epitech et CTO de deux entreprises, souhaite recruter ses développeurs chez Epitech : « c’est difficile de trouver des bons développeurs qui sortent d’autres écoles, explique-t-il, car les étudiants d’Epitech savent tout faire. On ne nous forme à rien en particulier, mais c’est ce qui fait qu’on est bons en tout ». Fabrice Bascoulergue raconte également comment il était sceptique en arrivant chez Epitech, comme tous les étudiants d’ailleurs. « Mais finalement, en élargissant le spectre, je me rends compte que chez Epitech, on est vraiment bien formés dans une logique globale de comment fonctionne l’informatique ».

Jean-Marie Vallée, développeur chez GRDF, est lui aussi à la recherche d’étudiants d’Epitech. C’était sa première fois comme juré pour une école, et il a trouvé que les étudiants avaient un très bon niveau technique et professionnel : « je trouve ça intéressant d’aller voir ce qui se passe dans les écoles d’innovation car parfois quand on travaille dans une grande entreprise, on peut avoir la tête dans le guidon. Aujourd’hui, j’ai découvert plein de sujets innovants et j’ai passé un super moment ».

« C’est important de comprendre comment les jeunes réfléchissent  »

S’acculturer aux valeurs d’Epitech, c’est également une raison pour laquelle les jurés ont accepté de faire passer les soutenances aux étudiants. Guillaume Grillat par exemple, de chez Deezer, organise souvent des évènements chez Epitech et connaît bien la maison. « J’aime venir ici car c’est important et même nécessaire de comprendre comment les jeunes en école d’innovation pensent, réfléchissent, et ce dont ils ont envie avant de rentrer dans le monde du travail, et donc avant qu’ils ne soient transformés. Je pense que c’est bien pour les entreprises de connaître la philosophie de ces étudiants ».

Et merci à tous nos jurés !

François Lecomte et Daniel Grunebaum de Wemanity, Arnaud Lacaze-Masmonteil des Gobelins, Guillaume Grillat de Deezer, Michael Borens de Aramis Auto, Rachida Benhadda et François Merigot de Intercloud, Fabrice Bascoulergue de Sandblock, Matthieu Sabourin, Aymeric Walerack et Jean-Michel Vallée de GRDF, Quentin Varennes de EI Technologies, Stephan Latrille de Via Link et Patrick Kontelj de BNB Paribas.

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