En attendant la finale de la #ProjectWeek 2017
La dernière ligne droite de la #ProjectWeek 2017 est en vue. Les 7 campus urbains du Groupe IONIS et leurs jurys, chacun composé de membres des équipes pédagogiques d’Epitech, de l’ISEG Marketing & Communication School et d’e-artsup, ont désigné hier leurs représentants pour la « finale » de la #ProjectWeek 2017. Celle-ci va consister pour chacun des groupes à pitcher leurs projets au siège du partenaire de la #ProjectWeek 2017 : le Groupe vente-privee. Ce grand moment se joue ce jeudi 30 mars qui vient.
Problématique métier
Rappelons que l’intérêt essentiel d’une Project Week pour les étudiants réunis en groupes inter-écoles est de travailler sur une problématique métier bien réelle. Pour preuve, le brief énoncé en début de la #ProjectWeek 2017 lundi 13 mars dernier par Ilan Benhaim, associé co-fondateur du Groupe vente-privee en charge de la stratégie d’innovation de ce même Groupe.
Rappel du brief
« L’objectif de vente-privee est d’augmenter les ventes en ligne auprès de sa clientèle et d’optimiser notamment le taux de conversion. Pour atteindre cet objectif, vous proposerez un projet visant à faire évoluer, voire réinventer l’expérience d’achat des membres de vente-privee, tout en tenant compte du caractère évènementiel des ventes et de leur courte durée (3 à 5 jours) ».
À Paris
Comme les groupes parisiens sont en proportion très nombreux, le jury de Paris a lui désigné deux projets lui semblant les plus pertinents. Ils étaient 8 à concourir à cette sorte de demi-finale hier lundi 27 mars. Aucun n’est évidemment sorti des clous bien définis du brief. Sans rien dévoiler, on peut préciser toutefois que pratiquement tous les groupes se sont concentrés sur l’expérience utilisateur et leurs façons de la réinventer. On verra jeudi quels seront les meilleurs projets selon vente-privee.
Feedbacks participants
Ismaël Dabo et Ramzi Melliti, tous deux Epitech promo 2020, ont apprécié cette #ProjectWeek 2017. « C’était cool et intéressant, selon Ismaël ; on a pu bosser sur autre chose que notre routine à nous, coder, un peu comme ce que l’on va faire l’année prochaine d’ailleurs avec Forward ». « Et puis, ajoute Ramzi, le fait d’échanger avec d’autres écoles c’est bien. Nous, on réfléchit en « mode développeur » ; en bossant avec Pauline, Laurène ou Caroline, on a d’autres points de vue, on découvre des choses, c’est intéressant à ce niveau-là ».
Et vous les filles ?
Dans ce même groupe avec Ismaël et Ramzi, il y a en effet et aussi Pauline Coquelin et Laurène Chen, toutes deux de l’ISEG Marketing & Communication School et Caroline Guenin d’e-artsup. Selon Laurène, « pour nous, plus axées communication et marketing, travailler sur ce genre de brief client, ça nous permet de fonctionner un peu sur un « mode agence ». Et dans les agences digitales aujourd’hui, on travaille avec des ingénieurs informatiques et plus encore en créa pour Caroline ». Qui a dit design thinking ?