Culture et Confiture de jeux vidéo
Vous avez été nombreux à venir visiter le salon Geekopolis, vous n’avez pas oublié le stand Epitech ni celui du Game Dev Group. C’est ici qu’étaient présentés les projets les plus aboutis de la dernière Game Jam organisée conjointement entre Epitech, e-art sup, Jam Shaker, Potion of Wit et Coin.
Des fruits, du sucre et du jus de cerveau
Cette Game Jam s’appelle La Grande Confiture de Jeux – du jeu video au de jeu de mots, on imagine que « confiture » est la traduction libre de « jam » en anglais…
Comme toutes les jams de création de jeux vidéo, elle se déroule sur 48 h. Elle réunit des équipes pluridisciplinaires qui rassemblent des développeurs, des graphistes, des game & sound designers. Autrement dit, toutes les compétences nécessaires pour fabriquer un prototype de jeu vidéo en deux jours.
Des rois, des reines et un disco king
Le thème imposé : « trône », d’où les rois, reines, royaumes et autres trônes dans des gameplays attachés au sujet de façon littérale. Ou pas, tels Disco King ou Trone of Paper dont les équipes ont interprété la thématique dans un sens plus figuré.
Plusieurs villes, plein de jeux
Les Parisiens ont participé mais pas qu’eux. Nantais et Nancéens étaient là aussi et pour ne pas perdre les bonnes volontés, cette Grande Confiture des Jeux était ouverte à la communauté online. Le résultat de ce grand bain de créativité non-stop en simultané : 21 jeux présentés. Un à Nancy, six à Nantes, idem à Paris et huit online.
Demos et protos
Les prototypes les plus aboutis en termes de « party game » ont été présentés sur le stand Game Dev Group à Geekopolis, en faisant tourner les jeux pour plus de variété. De la jam de Paris, Catfight Royale, Kingsmaker, Loupcorne et Disco King ont été montrés. De Nantes, c’étaient A Kings Life, Trône et The Londoner’s Dad. De Nancy, Brawl4Throne et des jammeurs online, King of the World et All hail the tim.
Feedbacks
D’après Aymeric Girault d’Epitech Nancy (promo 2016) et présent à Geekopolis pour montrer Brawl4Throne, « les gens étaient assez curieux au départ mais de loin, sauf que quand ils venaient jouer, ils hallucinaient qu’on ait réussi à sortir en deux jours des jeux qui se jouent ». Rien que cela, c’est déjà beaucoup.