Bonjour Monde
Le salon HelloWorld! se présente comme « un espace de partage entre entreprises et particuliers afin de découvrir les technologies qui changeront notre vie » selon HelloWorld!EDHEC. Celle-ci est l’association d’étudiants de l’EDHEC qui veut promouvoir, par cet événement et autres actions, les nouvelles technologies, l’innovation et le monde vidéo ludique, dont la Helloworld!Cup. Epitech était évidemment présente, ces 14 et 15 mars.
Jeux vidéo et 3D
Du côté ludique d’Helloworld!, est organisé tous les ans un tournoi de jeux vidéo inter-écoles en mode LAN party, qui connaît un succès toujours notable. Il y avait cette année plus de 8000 euros de lots à gagner… Du côté réalité augmentée, les étudiants d’Epitech – Leroy Hugo et Loïc Pirez (promo 2019) ainsi que Thomas Lavieville (promo 2018) – ont tenu à faire vivre à leurs nombreux visteurs (enfants, lycéens et beaucoup de parents aussi) l’expérience de l’Oculus Rift. C’est Pierre Rebut, autre promo 2019, qui avait travaillé sur l’univers 3D à explorer.
Démos, stands, conférences
Pour présenter les progrès de l’impression 3D et ses imprimantes enfin à la portée de tous (ou presque), plusieurs entreprises étaient présentes – « l’esprit maker » se diffuse et c’est bien. Les grandes entreprises du secteur I.T et de la région, dont la célèbre OVH, étaient bien sûr représentées.
Femmes et numérique
La question complexe de la féminisation du secteur a fait l’objet d’une table ronde. Elle était en particulier animée par Oumnia Benrahmane, Epitech promo 2017 et présidente de l’association E-mma Lille ; Axelle Ziegler, directrice pédagogique régionale d’Epitech à Lille et Caroline Usquelis, chargée de développement régional.
Débat d’idées
D’après Caroline, « nous avons essentiellement débattu de la place des femmes dans l’I.T, et ses paradoxes – notamment celui qui vient du fait que les femmes étaient plus présentes dans les métiers de l’I.T dans les années 80 que maintenant -, mais aussi au niveau des médias. »
De plus, « nous avons également discuté des actions mises en places au niveau des pouvoirs publics et des établissements d’enseignement supérieur comme Epitech. »
Coding kids
« Le sujet de l’imposition de quotas au sein des entreprises a été évoqué comme solution, même s’il semble que le problème se situe bien plus en amont. C’est à l’école, dès le primaire, qu’il faudrait introduire le numérique et l’apprentissage du code. » Briser les stétéotypes, c’est aussi montrer très tôt aux petites filles qu’informatique ne rime pas avec testostérone.