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03.02.16

Vivement la Global Game Jam 2017

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La Global Game Jam ne cesse de prendre de l’ampleur. Cette édition 2016 a encore battu tous les records : répartis entre 93 pays cette année, 36 00 participants se sont réunis en équipes pour produire, en 2 petites journées, pas moins de 6800 prototypes de jeux vidéo. En 2 ans, la participation d’Epitech aux Global Game Jams a suivi la même pente ascendante : 11 des 12 écoles Epitech ont participé à cette édition avec plus de 300 étudiants prêts à développer non-stop leurs idées de jeux vidéo. Retour sur cet événement.

Game dev’ jam

Une Global Game Jam (GGJ), c’est comme un hackathon mais sans prix ni jury, sauf exceptions. Pour l’amour du jeu vidéo, développeurs, game designers, graphistes, sound designers etc. se forment en équipes pour « sortir » en 48 heures un prototype. La seule obligation consiste en ce que ce « proto » s’inscrive dans le thème de l’édition. Cette année les jammeurs n’avaient comme cadre qu’un seul mot-clé : « Rituel ».

Art & essai

Certains ont trouvé ce thème bien mieux que les années précédentes, comme le confie un participant dans ce reportage vidéo ci-dessous, tourné à Epitech Nancy. Cette longue vidéo résume d’ailleurs assez bien l’ambiance d’une GGJ. Si vous voulez en suivre une autre à Paris, in vivo mais en différé, n’hésitez pas.

À Nancy

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La GGJ 2016 nancéenne a rassemblé 32 ou 34 participants selon les sources, dont un tiers était constitué d’étudiants Epitech. 6 projets ont été réalisés. Vous pouvez les retrouver ici.

À Lyon

La « jam » lyonnaise a, elle, rassemblé plus de 200 personnes. Elle était organisée à la fois par Epitech Lyon et Bellecour École. 45 de nos étudiants s’y sont impliqués, 27 prototypes ont été livrés, 25 se retrouvent sur la page dédiée.

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À quoi ça sert de se décarcasser ?

Pour Anthony Abramo (promo 2019), « c’était ma première expérience dans le jeu video. Je connais désormais les erreurs à ne pas refaire. Une Global Game Jam est une expérience hors du commun… ». Selon Alexis Feldmar (promo 2018), « on vient à une GGJ d’abord pour le fun, pour l’expérience aussi et pour travailler avec les autres corps de métier du jeu vidéo (game design et game art) car bien que les game designers aient l’air inutile (sic), ils sont importants. Ici, on éprouve la cohésion de groupe, on acquiert des compétences en un seul week-end et on repart avec un jeu à mettre sur le CV ! ».

e-artsup

En parlant des autres « corps de métier du jeu vidéo » comme dit Alexis, des étudiants d’e-artsup sont évidemment venus participer à cette GGJ 2016, notamment à Nantes, Bordeaux, Paris… Par ailleurs et sur ce sujet, e-artsup, l’école de la passion créative du Groupe IONIS, ouvre 3 bachelors en partenariat avec Epitech.

À Nantes

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Sur le campus IONIS Education Group nantais, des étudiants d’ e-artsup ont rejoint 17 Epitech, des première comme deuxième et troisième année. 14 projets en sont sortis.

À Rennes

À Rennes, 5 de nos étudiants y étaient, dont Nathan Maine (promo 2019). « J’ai fait de belles rencontres, constate-t-il. La GGJ, c’est vraiment l’évènement propice pour s’atteler à un projet ludique tout en récupérant les contacts de profils divers dans le but de continuer d’autres projets dans l’année. Quant à l’ambiance, elle ressemble beaucoup à celle des « rushes » Epitech : on y retrouve des groupes de personnes qui transforment du café en code », sourit-il.

À Toulouse

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Dans la ville rose, où la direction d’Epitech Toulouse tient à remercier chaleureusement le « Game group » du Hub Innovation de l’école, 33 étudiants aussi bien de première que de deuxième année et même 2 Alumni d’Epitech se sont réunis avec 32 participants venant d’ailleurs, dont des graphistes et des game designers. Très subjectivement, on retiendra parmi les 10 projets de jeux, « A Game About Jack« . Un vrai bouillon de culture « voxel art » (ou « pixel art« ) qui, en prime, contient aussi sa propre bande-son…

À Marseille

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À Marseille, on a compté 34 participants en tout. Selon Cyril Vella (promo 2020), en participant à une GGJ, on peut « réaliser un jeu vidéo en équipe avec des critères collectifs, découvrir de nouveaux logiciels de création de jeu et montage (Unity, PopcornFX, Photoshop et Blender), partager et échanger des idées avec d’autres développeurs présents à l’événement ». Comme partout aileurs, vous pouvez visionner les 6 projets issus du site phocéen sur le site officiel GGJ 2016.

À Nice

Non loin de la Promenade des Anglais, 50 étudiants Epitech se sont réunis dans leur école fétiche. Guillaume Couturier (promo 2018) nous explique lui aussi pourquoi il a participé à la GGJ : « je voulais découvrir de nouvelles choses, autant sur le plan technique que humain.. ». Comme Cyril à Marseille et la plupart d’entre tous nos étudiants, « c’était aussi une occasion de m’initier aux logiciels que je vais utiliser dans mon EIP ».

À Strasbourg

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Dans la capitale alsacienne, on a compté 14 équipes dans lesquelles se sont égayés 20 étudiants d’Epitech. 14 prototypes ont donc été montrés à l’heure du rendu, dimanche 31 janvier en fin d’après-midi. Des videos pro domo vont arriver très bientôt. On vous en reparlera sur notre page Facebook.

À Paris

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À Paris comme dans d’autres villes, il y a eu plus de participants (90 au total) que de personnes inscrites. Les membres du département gaming du Hub Innovation de l’école étaient sur le pont, dont Quentin Guay, responsable de ce département, Loic Juillet (promo 2017) qui, si l’on en croit la photo, s’est plu à jouer la ressource humaine pour aider les équipes tout en développant le jeu Bewitched, en équipe avec Florence Noé et Antoine Képéklian (tous deux promo 2016). Jérémy Fontanari d’e-artsup a le sens de la formule en lui : « le rituel, c’est de faire la Game Jam entre amis »… Un habitué en somme.

À Bordeaux

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À Bordeaux, 30 étudiants des promos 2020, 2019 et 2018 ont « jammé ». Yannick Jouneau, co-organisateur de la Global Game JAM 2016 à Bordeaux avec son association Flat 226, a trouvé que « cette Jam est l’une des plus réussies. Grâce aux goodies, au BDE, à l’ambiance, elle s’est très bien passée. »

À Lille

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À Epitech Lille, Axelle Ziegler directrice pédagogique régionale et head of content excellence au niveau national est une ancienne cadre de ce secteur des jeux vidéos qui, rappelons le encore une fois, est aujourd’hui la première industrie culturelle au monde. Elle n’a surtout pas hésité à y participer elle-même : « c’était chouette. Un groupe d’étudiants composé de Nicolas Lequain, Jérémy Mathon, Pierre Noël (tous promo 2018) avec Adrien aussi qui vient d’une autre école, a fait un très, très beau projet, je suis assez fière d’eux. Leur projet s’appelle « Between Good and Evil » ».

Travail de pros

« Avec un thème tel que « Rituel », le challenge qu’on s’est fixé avec des amis et des anciens collègues de boulot, c’était de faire un jeu multi(joueurs) en temps réel ce qui, dans le temps d’une « jam », n’est pas évident à réaliser… Tous les joueurs sont ensemble dans une arène, on s’est inspiré du principe du loup-garou, c’est-à-dire un espion qui poursuit l’objectif inverse des autres joueurs. Ce jeu s’appelle Dead Cant’ Dance ».

Ticket chic, ticket choc

« Le proto était à peu près prêt dimanche soir. On est en train de faire ce que l’on fait traditionnellement après une « jam », une petite liste de « tickets » de correction entre nous. Je pense qu’à la fin de la semaine on aura quelque chose de tout à fait jouable ».
On remet ça l’année prochaine.

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