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25.02.15

Se raconter des histoires

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Revenons sur le Forum Epitech Innovative Projects (EIP) 2015 pour parler de Galli. Sullivan Lacheteau, un des membres du groupe et promo 2015 comme ses 7 autres camarades, nous raconte l’histoire de ce projet super ludique destiné à l’apprentissage de la lecture par les enfants de moins de 9 ans. Ce projet comptait parmi les 7 challengers des Trophées EIP.

Au revoir le livre

« Galli c’est un projet pour les plateformes tactiles – tablettes, smartphones -, destinés aux enfants (et leurs parents…). C’est une application de création d’histoires interactives et dynamiques. Interactives dans le sens où l’on va bénéficier des propriétés tactiles du terminal sur lequel l’appli va être lancée. »

Des histoires à composer soi-même

« Surtout, les histoires proposées sont dynamiques puisque on a avec notre appli la possibilité de choisir les composants de l’histoire tels que le héros, la trame de l’histoire et le contexte dans lequel cela va se passer (au Moyen-Âge, dans le futur etc.). Rien à voir donc avec des histoires linéaires et prédéfinies. »

Galli, c’était pas du gâteau

« Être sélectionné parmi les 7 groupes a été une surprise, une très bonne surprise à laquelle on ne s’attendait pas, parce qu’on a connu dans le développement de l’app des moments pas évidents… En particulier pendant la 4è année à l’international, où la gestion du groupe a été un peu compliquée, où le projet n’avançait pas comme prévu etc. Mais au final, on s’est aperçu que notre avancement de projet et notre gestion de groupe n’étaient pas si chaotiques que cela… »

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L’expérience Trophées EIP

« Je pense que c’est le concept de l’application qui nous a permis d’être remarqués (parmi 94 projets EIP, ndr). L’exercice du pitch en amphi a été un très, très bon exercice. C’était une première pour chacun d’entre nous, nous qui étions 3 sur l’estrade. C’était la première fois que l’on prenait la parole devant un public aussi important, on s’est beaucoup préparé avec les coaches du labEIP qui nous ont bien briefés sur ce à quoi on devait faire attention, comment gérer le stress aussi parce qu’il y en a, forcément, devant tant de gens. »

L’exercice EIP, dur mais juste

« En fait faire un projet EIP très formateur, du fait déjà que c’est le premier projet que l’on fait comme ça à grande échelle, sur quasi 2 ans. Et le fait d’avoir un suivi par labEIP qui est ce qui fait office quelque part de client final, ça nous a obligés à bien penser le projet en amont, à bien de le découper, à assigner telle fonction à telle personne en fonction des compétences de chacun. C’est un très bon exercice de gestion de projet, du fait des contraintes imposées. »

Les crédits

Bravo à tous les membres de ce groupe EIP : Élodie Bordet, Ulric Lefevre, Vincent Lemonnier, Nicolas Magere, Rémi Mikel, François Portalis, Benjamin Tourou et Sullivan Lacheteau bien sûr.

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