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21.04.15

Da Codin’ Club

Le Coding Club n’est pas un club privé avec carte de membre exigée. Au contraire, les sessions Coding Club sont ouvertes à tous les lycéens qui veulent commencer à découvrir l’univers de la programmation informatique.

Au printemps, c’est Spring Camps

En cette période de vacances scolaires et printanières, des « spring camps » d’un ou deux jours sont organisés dans tout le réseau des 12 Epitech en France.

Toutes les 2 semaines

En ce qui concerne l’école parisienne, le Spring Camp s’est ouvert hier (avec une visite de l’Innovation Hub pour se mettre en jambes) pour se terminer ce soir. Si vous l’avez manqué, pas de souci : toutes les deux semaines des ateliers sont ouverts à tous.

N’aie pas peur

Pour Grisha Ghukasyan (promo 2018), « le sujet principal du Coding Club, c’est une visée à long terme : démystifier le code, amener les jeunes qui viennent ici à aimer l’informatique. Dès la seconde, on peut s’y inscrire. »

C’est pas triste

Toujours selon Grisha, « comme certains ont déjà un peu codé et d’autres pas du tout, on ne fait jamais deux fois la même chose, on essaie de toucher à un peu tout. On a déjà fait une session mobile, une session Ruby – on a codé des bots sur Twitter, c’était assez marrant… – des Code Combat, des choses comme ça. »

Bénéfice lycéen

« Le but, c’est que tu aies une idée sur plein de technologies différentes, ce sera un gros bonus pour toi. Pour un entretien par exemple, pour intégrer une école à la sortie du lycée, que ce soit Epitech ou une autre, c’est assez énorme… Tu pourras dire j’ai touché à ça, ça et ça, je sais ce qu’est le dev’ mobile, le jeu vidéo etc. »

Paroles de première

Selon Louis, lycéen en première, « c’est vraiment la toute première fois que je pratique le JavaScript, j’avais juste fait un peu de HTML chez moi, j’ai trouvé ça très intéressant. »
Pour Oriane et Attia, en première également toutes les deux, idem : « c’était bien sympa, on a pu apprendre plein de choses même si parfois, ce n’est pas évident » selon Oriane. « On apprend des choses qu’on n’apprend pas au lycée, je vais essayer de persévérer » conclue Attia.

Un détail qui compte

Louis souligne aussi le fait que « quand on est dans une salle comme celle-ci, on reste concentré. J’ai pu apprendre beaucoup plus que si j’étais resté chez moi pendant 2 jours à essayer de faire du JavaScript dans ma chambre. »

Que du plaisir

Construire, réfléchir et encadrer ces ateliers n’apparaît pas du tout comme une corvée pour les étudiants qui s’occupent de l’animation de ces ateliers, qui se sont surnommés les Cobras. Ceci est confirmé par Grisha, leader des Cobras parisiens : « nous sommes tous volontaires ».

Bénéfice pour tous

« J’adore, ajoute-t-il. J’apprends et je fais apprendre aux autres. L’idée pour nous étudiants encadrants, c’est qu’on n’ait pas non plus touché à ce dont on va parler : sur la session HTML par exemple, personne ici n’en avait jamais fait et comme ça, personne n’est en avance par rapport aux autres, tout le monde est au même niveau. On veut toujours changer de technologie. »

La méthode Epitech

« On a un « dépôt » en commun entre tous les Cobras de toutes les régions, pour partager nos expériences, nos thèmes et calendriers, dès qu’une session marche bien, on partage… Et de toute façon, moi, je ne suis pas partisan des tutoriels, je préfère que l’on pratique comme pour une Piscine : que les jeunes progressent par eux-mêmes et dès qu’ils ont une question, on arrive. »

Open innovation

Pour Philippe Coste, Head of Schools network Office, à l’initiative de la création du Coding Club, « ce qui est en train de se passer là, en gros, c’est qu’ils suivent exactement la même dynamique que l’open-source : on construit le produit ensemble et ce qui en fait sa valeur, c’est l’usage qu’on en a. C’est exactement notre dynamique, pour animer nos propres ateliers, on construit ce « produit » en collaboratif, c’est l’énergie de la contribution. »

Rendez-vous semaine prochaine

Comme ce sont les vacances scolaires, on remet le couvert du code plus vite que d’habitude : mercredi et jeudi prochains à Paris, c’est 2 jours pour découvrir Android. Vous pouvez toujours vous y inscrire comme une trentenaire de personnes l’ont déjà fait. À Paris comme partout ailleurs.

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