Holocat blows away
Il voyage, le Holocat de Kevin Lederman, mentor du domaine Environnements virtuels (Virtuality) à Paris au sein du Hub Innovation d’Epitech. Le chaton en hologramme a été mis en scène à la « Vitrine étudiante » de l’Espace Croix-Baragnon à Toulouse, où était organisée l’une des deux expositions évoquant les liens entre art et jeux vidéos. Le second espace, au centre culturel Bellegarde, est dévolu aux professionnels. Kevin revient avec nous sur cet événement, qui s’est ouvert le 7 octobre et se termine samedi 24 prochain.
Holocat in the Hub
« Je suis évidemment allé aussi à Epitech Toulouse, en particulier pour tisser des connexions encore plus solides avec le Hub Innovation de Toulouse. Nous avons pas mal discuté, j’espère que quelques projets autour de l’hologramme s’y monteront puisque après l’exposition, l’holocat va rester à Epitech Toulouse. Des première année qui étaient en Piscine sont passés discrètement dans le Hub voir à quoi ça ressemblait. Ils ont bien aimé je crois ».
La vitrine
« Il y avait 8 installations dans ce lieu. Il y avait de tout comme profils étudiants, des gens qui avaient des doctorats en informatique, d’autres qui n’avaient rien à voir avec ça, d’autres projets d’Epitech, G.O.D.S notamment. C’est un jeu vidéo avec des vaisseaux très sympa, une sorte de jeu de foot à la Tron super flashy plutôt sympa ». G.O.D.S rassemble Joan Frutozo, Jérémy Falconnier et Nicolas Crockey (tous promo 2017).
Holocat, un succès garanti
« Les gens ont vraiment adoré holocat, aussi bien les gens de la galerie que le public… On peut dire que ce petit chat marche super bien, l’hologramme en lui-même était bien mis en valeur dans cet espace, les gens passaient devant, restaient dessus, le prenaient en photo, posaient des questions, c’était intéressant de voir toutes ces réactions ».
Crash test réussi
« C’était l’occasion aussi de tester l’holocat en le faisant tourner sur un ordinateur pendant presque 1 mois, sans personne à côté pour vérifier ou chipoter un exécutable 10 mn avant… C’est vraiment en conditions réelles, il tourne bien. Pour moi, c’était un vrai crash test ».
BlackFoot
« Depuis quelques jours on est entré, avec l’équipe BlackFoot (Pierre-Marie Laguet, Maxime Bourgeois, Arthur Davoine (tous promo 2016) et moi-même) à StartUp42, l’accélérateur de start-up d’Epita, pour booster tous nos projets. On veut en faire un projet fonctionnel et scalable, en particulier ce qui concerne le contrôle vocal et par gestes des hologrammes qu’on essaie de packager pour un produit potentiellement B2B… On en reparlera plus tard, l’idée est d’en faire un business model viable, plus développé qu’une scie, 3 bâtons et 2 plaques en plexi… ».
Fini de rire
« On est en train d’usiner un prototype définitif et fonctionnel à l’usine IO avec l’équipe pour pouvoir le mettre dans des showrooms et pour Epitech aussi, à destination des différents Hubs des 11 autres écoles en France. Avec toujours le même système ».