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07.11.16

Retour sur la Paris Games Week 2016

La Paris Games Week édition 2016 s’est achevée ce lundi dernier. Epitech était au centre du hall Paris Games Week Junior, les développeurs de Dungeon of Zaar ont réussi leur pari sur Kickstarter, les cosplayers étaient présents, les chasseurs de nouvelles tendances également et les fans des blockbusters à la Counterstrike ou LoL étaient en transe pendant par exemple les finales ESWC. Un salon impressionnant, comme tous les ans.

Du monde, du monde, du monde

Quentin Guay, responsable au sein du Hub innovation d’Epitech en charge du développement des jeux vidéos était ravi : « on a eu énormément de monde, plusieurs interviews, une team suédoise invitée par Twitch est venue nous interviewer, on a eu O’Gaming, plateforme ultra connue dans le secteur notamment l’e-sport, 2 radios, du media youtube. On est aussi passé 2 fois sur la scène Game One, avec les Dungeon of Zaar d’abord puis avec Nicolas (Crockey) de G.O.D-Sport, Christelle (Plissonneau) de Play’n’Code (Epitech promo 2016) et moi. On a ainsi pu parler de tous les projets importants issus d’Epitech dans le secteur des jeux vidéos ».

Dungeon of Zaar

Toujours selon Quentin « c’est impressionnant le nombre d’articles de blogs et/ou d’interviews que Cléry, Vincent et Noé ont pu « faire » sur Dungeon of Zaar, au moins 6 ou 7, ils sont passés sur JVTV aussi. Ils ont réussi leur Kickstart’ sans problème ».

#PGW = money

« Ce qui est marrant, souligne un Cléry moins stressé depuis la bonne nouvelle du Kickstater réussi, mais ce qui est logique en même temps, c’est qu’on s’est fait beaucoup plus d’argent ces 5 derniers jours qu’en 3 semaines, ou presque. Quentin a pris pas mal de temps pour nous mettre en avant aussi. Sur la scène de Game One, on a fait un live et dans ces cas-là, c’est la folie, les gens ont bien suivi le truc ».

Horizon 6 mois

« Avec ces plus de 25 000 €, rappelle toujours Cléry, on va pouvoir bosser à temps plein tous les trois sur 6 mois. Après, le but est de sortir le jeu autour de juin 2017, en ayant ajouté des modes de jeu, des personnages en plus, des objets supplémentaires. On va le sortir sur Steam, sur Mac, Linux et PC et peut-être sur Nintendo Switch aussi, qui a été annoncé il n’y a pas longtemps. Même si les gens croient que le jeu est presque fini, il nous reste beaucoup de choses à faire, plusieurs plateformes à viser ».

Communauté

À l’origine du projet Dungeon of Zaar, Noé (Lecombre) rappellait que dès le dimanche soir « on faisait un stream sur Twitch, pour partager la bonne nouvelle avec ceux qui nous suivent dessus. L’idée de nos Twitch, c’est de créer des rendez-vous pour que les gens puissent jouer à Dungeon of Zaar en ligne ».

Game Connection

« On est allé évidemment à la Game Connection aussi, finit Cléry, le secteur B2B de la Paris Games Week où se retrouvent les éditeurs, les « publishers », les distributeurs, histoire de trouver un financement supplémentaire, de manière à être vraiment « safe ». Le jeu en tout cas a été bien accueilli ici, on est vraiment contents ».

Galactic Orbital Death Sport

Un autre jeu vidéo était mis en avant sur cet espace Epitech, G.O.D-Sport. Nicolas Crockey et Jérémy Falconnier étaient présents tandis que Joan Frutozo était resté à Toulouse (tous trois promo 2017), apportant en temps réel des petites modifications suite aux feedbacks utilisateurs depuis Paris, une très bonne idée.

Space hockey

Résumé par Jérémy, « G.O.D-Sport est un jeu de hockey dans l’espace, c’est peut-être un peu perché comme idée mais on s’est dit pourquoi pas faire un jeu de plateforme, du hockey, un sport sympa mais en ajoutant des vaisseaux qui vont se tirer dessus afin d’avoir une meilleure dynamique, à jouer en équipes… Le but c’est d’amener le palet dans les buts de l’adversaire ».

Vitesse et dynamisme

« Quand le palet sort de l’écran, on peut voir qu’il y a une petite caméra tracking qui montre au joueur ce qui se passe, de manière à ce qu’il sache toujours où se trouve le palet et ce qu’il peut faire pour aider son équipe (…) Tout a été pensé pour qu’il y ait un maximum de dynamisme entre les joueurs (…). Une fois que les équipes sont constituées, soit on joue à 4 sur la même console en local, soit tout simplement en ligne ».

Projet d’entreprise

« Développer ce jeu en parallèle des études, c’est assez compliqué, rappelle Nicolas, on compte se mettre à temps plein dessus, via le stage full time création d’entreprise de l’école ». Pour réussir, il faut échouer, mais on peut réussir sans échouer aussi, c’est tout le mal qu’on leur souhaite.

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