Rémi Weiscinger, alumni 2019 et aujourd’hui intégrateur logiciel au sein de l’entreprise Thales, a trouvé sa voie très tôt. Au collège, les jeux vidéo lui donnent envie de découvrir l’envers du décor et de comprendre comment naissent les mondes dans lesquels il joue. Cette curiosité l’amène à coder ses premières lignes, puis à choisir Epitech pour transformer cet intérêt en véritable savoir-faire.
Trouver sa voie dans l’informatique :
Une trajectoire tracée dès le collège
Rémi découvre l’informatique en jouant aux jeux vidéo. Intrigué par la manière dont naissent les univers qu’il explore, il se met à coder ses premières lignes dès le collège. Après un lycée technologique, il choisit Epitech Nancy pour son approche technique et son apprentissage par la pratique. Aujourd’hui, il nous confie même qu’il a appris à piloter un hélicoptère grâce à son métier.
Le métier d’intégrateur logiciel
Le rôle d’un intégrateur logiciel, explique Rémi, se situe à la croisée de la programmation et de la configuration système. Il s’assure que les logiciels développés par les équipes fonctionnent parfaitement dans les systèmes où ils sont déployés.
Pour imager, il compare son métier à la construction d’une route entre deux villes : il faut concevoir l’architecture, la construire, vérifier qu’elle répond aux besoins, puis en contrôler la qualité.
Son quotidien est varié : réunions le matin, tests sur plateformes dans l’usine l’après-midi, et missions en France comme à l’international.
Apprendre en faisant, réussir en équipe
Ce que Rémi retient en premier d’Epitech ey de son Programme Grande Ecole, ce n’est pas un langage de programmation, mais une méthode : l’autonomie. L’école forme à “apprendre à se débrouiller”, un atout majeur dans sa carrière. Confronté à un problème, il sait mobiliser les bonnes ressources et s’adapter rapidement, une compétence clé dans le monde de la simulation et de l’intégration logiciel.
« Ce que je retiens avant tout d’Epitech aujourd’hui, c’est l’autonomie. La première chose qu’on apprend à Epitech, ce n’est pas forcément programmer, même si on s’y met dès le premier jour, mais apprendre à se débrouiller, et on est accompagnés dans la débrouillardise. » – Rémi
Arrivé juste après le bac, Rémi se décrit comme réservé. Les nombreux projets en équipe l’ont aidé à prendre confiance et à travailler main dans la main avec d’autres profils.
Autre compétence acquise : savoir présenter et valoriser un projet. Pendant son cursus, chaque rendu s’accompagnait d’une présentation soignée, façon pitch, pour convaincre et expliquer au-delà du code.