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16.11.09

1ère Piscine à Marseille : Dans le grand bain !

Octobre 2009. Première piscine pour les promotions entrantes à l’EPITECH. Pour Marseille, le rideau s’est levé sur les locaux de l’école, qui accueillait ses premiers étudiants.

Premiere piscine EPITECH Marseille

EPITECH Marseille a ouvert ses portes à la rentrée 2009. Dans ses salles encore vides il y a peu deux générations d’étudiants y ont été reçues : les promotions 2014 et 2012s. Elles ont pris soin d’éveiller le lieu à la culture EPITECH, en participant à la première piscine de son histoire. Durant trois semaines, et tous les jours, ils ont travaillé d’arrache pied afin d’acquérir les bases de la pédagogie de l’école.

Jonathan Garcia

« On est arrivé, on ne savait rien ou plutôt on pensait savoir, et on a beaucoup progressé, commente Jonathan Garcia, promotion 2014. Le rythme est soutenu : heureusement que j’aime l’informatique et que ce que l’on fait à EPITECH est intéressant ! On peut s’entraider, il y a beaucoup de solidarité dans la classe. Chacun peut apporter un point de vue différent. La piscine, c’est vivre en communauté pendant 3 semaines. »


Cette première a été conduite sous l’œil de l’équipe pédagogique dont Florian Coudert, Astek, et la supervision de Charles Edouard Lugagne, responsable Pédagogique d’EPITECH Marseille. « Les étudiants sont particulièrement impliqués, avance Florian Coudert. Cette promotion est exceptionnellement curieuse : les étudiants n’hésitent pas à poser des questions s’ils se sentent perdus, c’est une des voies du succès. De plus, les élèves qui sont en difficulté se font aider par ceux qui réussissent le mieux, ce qui contribue à souder le groupe ».

Alexandre Periphanos

Bilan de cette première piscine : l’ensemble des étudiants est conforté dans son choix. Pour la plupart, ils sont heureux d’avoir terminé : la fatigue est là ! Même si certain aurait bien voulu continuer une semaine de plus : « C’est vrai que je suis fatigué, mais on apprend tellement que je n’aurais pas été dérangé de faire une semaine de plus, confesse Alexandre Périphanos, promotion 2014. En fait, le plus dur c’est de prendre le rythme et de s’habituer à ce que l’on nous demande. Pour réussir les exercices les plus compliqués, on doit aller chercher par nous même car tout n’est pas dans les cours. Enfin, le système de notation encourage à faire attention à la propreté de notre code. Sur un exercice, j’ai perdu 21 points à cause du non-respect de la norme EPITECH. Je ne ferais plus ces erreurs là ! ».

La piscine terminée, les étudiants ont repris le rythme classique de l’école. Dès leur retour devant un ordinateur, leur premier projet de première année, une machine à calculer les nombres infinis surnommée « Bistromathique », leur a été soumis…

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