Do The Right Team saison 2 épisode 1
Epitech à Marseille a lancé sa première édition il y a un mois, à Paris la deuxième saison The Do The Right Team s’est ouverte jeudi dernier.
Le grand pitch
Comme l’an dernier, il s’agit de favoriser la rencontre entre étudiants et Anciens d’Epitech et d’autres grandes écoles, de mettre en relation différents profils – techno / business / design – dans un esprit de co-working et de team building afin de constituer des équipes en position de gagner la bataille de l’entreprenariat. Rien ne se gagne en effet dans ce combat pour l’innovation sans lutter, tout se conquiert.
Une bonne idée c’est bien ; une bonne équipe, c’est beaucoup mieux
Comme l’a répété Emmanuel Carli, directeur général d’Epitech en ouverture de cette nouvelle session, pour que les conditions de la réussite soient réunies, il faut savoir allier dans une même équipe les triples compétences IT, business et design. Une équipe en mesure de soutenir les trois conditions d’un projet qui fonctionne en tant que start-up : faisabilité technique, viabilité économique et désirabilité du produit.
Les start-uppers sont des explorateurs
Lancer un produit innovant est comme une exploration : on pose une hypothèse, on la prototype, on la teste et si les feedbacks sont bons, on avance. Sinon, on pivote. S’il faut pivoter, c’est bien en cette occasion périlleuse qu’il faut une équipe capable d’assumer ces grands virages, à partir d’une vision à 360 degrés de tous les enjeux.
Dans tous les enjeux figurent aussi en bonne place les problématiques juridiques, fiscales et sociales.
En tant que speakers invités à cette nouvelle Do The Right Team, les collaborateurs du cabinet d’avocats Taj sont venus présenter leur nouvelle structure : [email protected] up. Résumée par Sylvain Montoro, [email protected] up est la première équipe issue d’un cabinet d’avocats dédiée aux start-up sur ces problématiques très particulières – pensons à celles de la propriété intellectuelle, par exemple.
Pitches & networking
Il était alors temps de laisser parler les porteurs de projets comme les start-uppers présents en nombre.
Des projets très avancés à ceux en gésine, en passant par les créateurs d’idées qui préfèrent en dirent moins que trop, l’éventail des « performances » au pitch a été très varié. Certains projets nous ont fait penser fort à ceux qui vont être présentés au Forum EIP de novembre prochain. On n’en dira pas plus. Pour le moment…