Cassandra Sangkhavongs – un parcours éclectique menant au bonheur !
Cassandra Sangkhavongs est une ancienne élève du Samsung Campus d’Epitech. Cette formation propose aux jeunes qui n’ont pas de compétences particulières en informatique d’accéder à un cursus de deux ans qui leur ouvrira les portes d’un secteur à fort potentiel, en présentant notamment un taux d’employabilité à la sortie de près de 100%.
Découvrons le parcours atypique de Cassandra Sangkhavongs, les raisons qui l’ont guidée vers ce choix, et sa personnalité enthousiasmante qui nous l’espérons vous inspirera !
Un parcours professionnel déjà varié à seulement 27 ans !
A la sortie du collège, Cassandra fait le choix d’un CAP vente, puis d’un CAP pâtisserie. Ne trouvant pas facilement de travail dans ce domaine, elle débute finalement sa carrière professionnelle par un poste de « metteuse en bain » en métallurgie ! Si elle apprécie beaucoup ce métier, Cassandra se blesse malheureusement lors de l’exercice de ce travail artisanal, très physique.
Elle est convaincue que ces différentes expériences lui ont beaucoup apporté, tant au niveau professionnel que personnel, et elle se sert de cette flexibilité au quotidien aujourd’hui.
« Je suis vraiment contente d’avoir tenté ces différentes expériences professionnelles car aujourd’hui lorsque j’arrive dans un nouvel endroit je suis capable de m’adapter rapidement. »
La voie de l’informatique
Cassandra a toujours eu des affinités avec l’informatique, mais c’est son conjoint, ancien élève d’Epitech, qui lui donne l’idée d’en faire son métier après qu’elle se soit blessée.
Aimant jouer aux jeux vidéos, et appréciant tout l’univers qui va avec, elle hésite pourtant avant de se diriger professionnellement dans cette voie. Après avoir exercé deux métiers manuels et physiques, elle est un peu réticente à l’idée de travailler toute la semaine derrière un ordinateur. Mais finalement, elle nous raconte qu’aujourd’hui, elle ne voit pas les journées passer.
Coder la passionne, et « c’est aussi physique mentalement que la pâtisserie ou la métallurgie le sont physiquement ».
Son premier contact plus formel avec le monde de l’informatique se fait à la Piscine de l’école 42, où elle restera 5 jours. Ses notes sont pourtant au rendez-vous, mais elle trouve l’ambiance trop compétitive et peu chaleureuse. C’est là qu’elle postule au Samsung Campus, et débute par leur session de Piscine. Elle y apprécie la cohésion et l’atmosphère d’entraide dans la promotion composée de 45 d’étudiants.
Que retenir du Samsung Campus ?
« J’ai adoré ne pas avoir de cours théoriques. On nous donne un projet et nous devons chercher et trouver nous-mêmes les réponses. Nous sommes autonomes dès le départ. »
La fameuse méthode qui « apprend à apprendre » rencontre toujours beaucoup de succès. Elle permet aux étudiants d’acquérir des compétences de manière constructive et dynamique, sans avoir à apprendre par cœur de façon rébarbative. Elle est aussi plébiscitée par les entreprises qui les emploient par la suite, et ont à leur inculquer en permanence de nouveaux savoir-faire.

Cassandra évoque la fête de fin d’année du Samsung Campus avec nostalgie. Lors de son cursus, elle refait le site web du Samsung Campus avec quatre étudiants de sa promotion, et échange ainsi beaucoup avec la directrice de la formation. Cela lui a permis, ainsi qu’à son équipe, de « mettre leur grain de sel dans la fête de fin d’année » dont elle garde des souvenirs mémorables.
Une vie choisie
Cassandra vit et travaille aujourd’hui en Suisse où elle a emménagé juste après la fin de ses études au Samsung Campus. L’entreprise pour laquelle elle travaillait en alternance lors de sa deuxième année d’études lui a proposé un CDI qu’elle a choisi de refuser car elle souhaitait vraiment partir vivre en Suisse.

Elle travaille aujourd’hui pour Academic Work, une agence qui met en contact les entreprises avec des profils talentueux. Sa mission actuelle est pour la ville de Lausanne, en tant que développeuse web. Elle réside à 30 minutes de la ville, entre forêt et montagne, et mène la vie qu’elle souhaitait. Elle gagne l’équivalent en euros de 69 000€ par an, ce qui, même si le coût de la vie est plus important en Suisse, lui assure une vie confortable.