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26.07.10

« Assimiler par la pratique »

Luc Peres (promotion 2012S) est entré à Epitech Bordeaux en troisième année spéciale. Après deux ans dans une école traditionnelle d’informatique, il a décidé d’intégrer Epitech, attiré par la pédagogie par projets.

Luc Peres

Pourquoi as-tu voulu intégrer Epitech en admission parallèle ?

Ce sont les différences de méthodes d’enseignement avec mon ancien établissement qui m’ont motivé. La pédagogie par projets s’oppose aux cours magistraux. Dans mon ancienne école, je restais 35 heures par semaine à regarder à longueur de journée des présentations Powerpoint, ce n’était pas très enrichissant. Ici, l’apprentissage est différent : peu de cours, mais toute la pédagogie de l’école se fait à travers nos projets. C’est ce côté pratique qui m’a intéressé : c’est beaucoup plus agréable !

Comment se sont passés tes premiers mois ?

Les premiers temps étaient chargés : le rythme de travail est soutenu. On commence directement avec la piscine de C et deux semaines de travail intensif. J’ai fini par m’y habituer, d’autant plus que le programme de la troisième année spéciale est chargé. Le rush est constant, et on n’a pas le temps de se reposer ! J’ai vraiment travaillé sans compter mes heures. Mon intégration au sein d’Epitech Bordeaux s’est faite naturellement, comme dans une grande famille.

Un an après ta rentrée, te sens-tu différent ?

Depuis le début de l’année, j’ai engrangé une réelle masse de connaissance. Pendant les deux ans de mon ancienne école, je me suis rendu compte que je n’avais pas pratiqué et que peu en ressortait. C’est seulement en pratiquant qu’on assimile. J’ai appris beaucoup, et j’ai retenu ces apprentissages grâce aux projets.

Direction l’international l’année prochaine…

Je pars pour la Kent University à Canterburry dans le cadre de ma quatrième année internationale. Elle propose beaucoup d’avantages pratiques sur les autres destinations à mon goût, dont la possibilité de pouvoir revenir en France plus fréquemment et un coût de la vie moins élevé qu’ailleurs. De plus, la formation proposée est diplômante, ce qui n’est pas négligeable. Enfin, c’est ma priorité, je souhaite revenir bilingue après un an à l’étranger. Quoi de mieux qu’une université anglaise ?

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