Puissance des nations et des groupes de nations, concurrence mondiale des entreprises, souverainetés, crises globales, pandémies, influences, respect des libertés : de nouveaux enjeux traversent la technologie et la rendent encore plus centrale. Éducation, restauration, santé, énergie, transport, de nouveaux moyens d’interactions et de travail doivent être trouvés, pour réinitialiser les flux humains mis à l’arrêt par la pandémie.
Ce qui était une chose à faire de plus, se digitaliser, devient essentiel pour tous.
Le digital, c’est d’abord de l’usage et donc de l’expérience utilisateur. Apparus et disparus, améliorés et transformés, rendus omniprésents ou obsolètes, les usages se renouvellent et accélèrent. C’est aussi vrai pour les usages personnels que pour les usages professionnels, pour les usages civiques que pour les usages d’information, pour les usages domestiques que pour les usages d’organisation.
Le monde plonge au 21e siècle la tête la première dans un futur où le digital prend le dessus.
Mobilités, télé-travail, relations entre les personnes : qui peut prédire dans quel sens vont les modes de vie, sinon le sens de la diversité des choix et de la variété des possibles. La pandémie a mis en avant d’autres façons de consommer la culture, travailler, faire ses achats, échanger avec ses proches.
En 2020, le monde est contraint à de nouveaux modes de vie et le digital les rend possibles.
Le monde a pris conscience que l’activité économique pouvait s’arrêter. La maintenir demande d’aller au-delà de tous les à priori, de penser « out of the box », de rendre possible ce qui paraissait impossible. Alors que le monde physique a été ralenti, le monde digital agile et puissant croît inexorablement, donnant à ses utilisateurs résilience et efficience.
En 2020, le digital cesse d’être une option.
Dans cet univers agile, inventer une nouvelle solution, en transformer une existante ou la compléter se fait au pas de charge. Pour tenir la distance il faut en comprendre les mécanismes en profondeur. Quelles technologies ? Quand développer ? Quand réutiliser ? Où se fournir ? Comment faire pour répondre aux contraintes de performance et de sécurité ?
En 2020, pour maîtriser les technologies du digital, il faut être initié.
Automobile, transports, tourisme, télécoms, banque, assurance, finance de marché, luxe, mode, commerce, industrie chimique, santé, industrie pharmaceutique, agriculture et agroalimentaire, médias, urbanisme, immobilier, ONG, loisirs, divertissement, culture, sport… Tous les secteurs économiques se transforment par le digital.
Être un·e expert·e du digital, c’est être un·e véritable Business Analyst, celui qui est à l’interface entre les métiers, les besoins des utilisateurs, les usages et les technologies que l’on retrouve partout. Il s’agit d’intervenir dans une vaste chaîne d’acteurs qui permettent la collecte et la manipulation d’informations en toute sécurité, travaillent sur leur présentation au travers d’interfaces dédiées, interconnectent des outils variés.
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Epitech Digital est l’école de la transition digitale. 50% business – 50% tech, elle forme les expert.e.s du digital qui guident notre société vers le futur et sont capables d’agir dans un monde ultra-connecté. Implantée à Bordeaux, Lyon, Nantes, Paris et Toulouse, l’école propose un Programme Global Digital en 5 ans, 3 Bachelors spécialisés Managers en Web Design, Web Marketing et Web Development, ainsi que 4 MSc spécialisés en GreenTech, e-Santé, Retail Tech et Fintech. Créée par Epitech, l’école référente de l’expertise informatique et de l’innovation, en 2020, Epitech Digital apporte au digital ce qu’Epitech apporte à l’informatique, avec le même niveau d’ambition, la même pédagogie créatrice et innovante, pour former des experts réalistes et engagés.
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